On the edge of a dream that you have — Has anybody ever told you it's not coming true

J'ai pas grand chose à dire sur la première lettre tant c'est niais, non je te chambre. C'est personnel, et, d'un point de vue seulement dans le contexte que c'est un texte écrit et seulement ça, c'est bateau comme toutes les lettres d'amour.
Mais moi, je critique pas, je trouve que ça fait un peu "Edith Piaf" et pour moi, ça, c'est du compliment !

Bon, je vais faire un commentaire compact pour le reste, parce que y en a quand même un sacré paquet.

C'est un peu un soulagement la fin, c'est doux comme un bon bon, ça rassure. J'ai bien ri avec ta dernière phrase, ton commentaire : "C'est fluff, c'est doux, c'est rose. Et j'ai absolument pas honte."
Il cloture tellement bien !

J'aime les images, les arbres et leur robes, j'aime la précision, les billets de train, tout ça. Tout est très beau, tout est comme un beau tableau peint.
Mais ce passage m'a fait rêvé, il est tellement beau, c'est tellement mon préféré, quand tu décris son dos, c'est de la poésie, de l'amour. J'aime quand on écrit sur les femmes, il y a toujorus une histoire à raconté sur un détail. Savoir écrie sur les femmes, cette manière, c'est la plus belle plume me semble-t-il et tu en fais bon usage dans ce paragraphe.

J'aime aussi un passage dans un autre registre "me vomir" etc. Il est su vrai ce sentiment, il est si présent, si "là" chaque jour. Normal et bien dis. Y a que ça à faire au bout d'un moment, on n'attend pas que le mal passe car il ne passer apas, il faut vomir, c'est tout, se rendre malade, encore plus, encore plus physiquement, et s'endormir dans la douleur, dans le mal.

J'aime aussi le drenier paragraphe du premier chapitre, c'est bien ta créatrice, elle t'a écrite -ou dessiner- et tu es le papier qu'elle peut froisser, déchirer, selon si elle est heureuse ou pas de son oeuvre, c'est bien fait, bien dit, bien vrai, bien enchaîné, comme toi.

J'ai aussi beaucoup souri quand tu dis "on est conne', j'ai souri parce que c'est un sentiment vrai, comme une évidence, et c'est bien fait, c'est jeté là sur le papier, c'est mots comme un secret qu'on ne peut plus garder.

Je continue a trouver ça étrange de déballer cela au public, tous mes voeux de bonheurs à vous deux ceci dit !

C'est très courant ce que tu décris.
Enfin, ceux qui jouent un rôle réagissent tous pareils devant un tel cas, bon, selon leur rôle ils s'en moqueront, trouveront des phrases philosophiques ou que sais-je. Le rôle que tu décris, toi, au moins, à eut le mérite de consoler la fille.

C'est un bon test, de savoir qui joue un rôle quand, faut juste mettre la personne face à une situation de profond malheur.
C'est assez courant. Mais toujours très bien écrit.